Le film sur Renaud Lavillenie a été présenté mardi soir, au cinéma le Paris à Clermont-Ferrand, par l'athlète lui-même et le réalisateur, Cédric Klapisch. Le documentaire sur sa vie et ses entraînements sera diffusé le 9 juillet prochain sur France 3. L'occasion de rencontrer ces deux champions.
Après "Elévation" en 2014 autour du record du monde (6,16 m) de Renaud Lavillenie réalisé à Donetsk (Ukraine), le cinéaste Cédric Klapisch propose un second film autour du perchiste clermontois.
Intitulé "Renaud Lavillenie, jusqu'au bout du haut", ce film a été présenté en avant-première au cinéma "Le Paris" à Clermont-Ferrand mardi 28 juin, avant sa diffusion sur France 3 programmée le 9 juillet à 22 heures 30.
Extrait du documentaire réalisé par Cédric Klapisch consacré à l'année pré-olympique du perchiste clermontois Renaud Lavillenie.
Dans ce film, Cédric Klapisch a souhaité raconter la préparation olympique du médaillé d'or à Londres en 2012. En août prochain, le perchiste va remettre son titre en jeu à Rio et, pendant un an, Cédric Klapisch l'a suivi, posant sa caméra sur son quotidien, chez lui dans la banlieue de Clermont-Ferrand ou quelque part sur la planète.
Le célèbre réalisateur du "Péril jeune", de "L'Auberge espagnole" ou encore des "Poupées russes" est un ancien perchiste. Un point commun qui le rapproche de l'athlète mais aussi un atout pour la réalisation de ce documentaire pour Renaud Lavillenie : "Il a un oeil complètement différent qui s'est bien ressenti quand je l'ai pratiqué au fur et à mesure des prises, parce que c'était vraiment fait pour aller dans le sens du saut à la perche et pas dans le sens du cinéma."
Le réalisateur qui a pratiqué le saut à la perche pendant six ans, insiste sur la précision technique de ce sport qui lui a donc fallu une précision technique dans la façon de filmer. "Il y a cette course qui fait qu'on plie une perche et puis ensuite on est envoyé en l'air et c'es très compliqué à filmer", affirme Céric Klapisch qui explique "parce qu'il court très vite (rires), il faut le suivre! Et il va très vite en l'air! C'est un sport difficile à filmer."
L'interview en intégralité ici
Au micro de Jean-Luc Roussilhe et de Julien Le Coq