Elle s'était pendue le 20 avril dernier. Ses collègues souhaitent que son acte soit reconnu comme accident du travail.
Voilà 8 semaines que les pompiers d'Angers et Cholet se présentent devant la mairie des deux villes, le samedi matin. Ils sont quelques dizaines à chaque fois, présents pour que le suicide de leur collègue soit reconnu comme accident du travail.
Le 20 avril dernier, une pompier s'était pendue pendant ses heures de garde, en laissant un mot derrière elle faisant un lien entre son acte et ses conditions de travail.
Depuis, ses collègues demandent de la reconnaissance, pour elle, mais aussi pour leurs conditions de travail.