Ce 7 décembre dans le Journal de la Méditerranée : la reprise par des investisseurs franco-belges d’une des dernières savonneries de Marseille, le portrait d’un heureux retraité français à Malte et le parcours artistique du kabyle Slimane Azem enterré à Moissac dans le Tarn-et-Garonne.
Le vrai savon de Marseille pour le marché chinois
La traditionnelle savonnerie du « Fer à Cheval », dont les chaudrons datent de la fin du XIXe siècle, vient d’être rachetée après un dépôt de bilan par des investisseurs franco-belges, basés à Hongkong. Ces repreneurs visent surtout l'exportation et le marché chinois, le savon de Marseille ayant une très bonne notoriété en Asie. Les 24 salariés, qui voient leurs emplois sauvegardés, sont soulagés car la tradition et leur savoir faire vont pouvoir perdurer. Un vrai label pour un vrai savon. Le Journal de la Méditerranée vous en dit plus ci-dessus...
Sous le soleil de Malte
Certains retraités français prennent la direction du sud pour poser leurs valises et vivre au soleil toute l’année. Quelques uns ont choisi Malte, un des bijoux de la Méditerranée au sein même de la communauté européenne. A deux heures et demie de Paris la température ne descend jamais en dessous de 20°. Et dans l’île ce phénomène de migration est devenu un véritable secteur économique à part entière, la vie étant bien moins cher qu’en France. C’est ce que Philippe Cavelart est venu chercher sur place. Des vacances toute l’année pour cet ancien cadre…
Sliman Azem, de la Kabylie à Moissac
Slimane Azem, auteur-compositeur-interprète et poète algérien, disque d'or en 1970, surnommé le « Brassens berbère », est enterré à Moissac (Tarn-et-Garonne) où il vécut les vingt dernières années de sa vie tumultueuse. Et sans le zèle d'un fonctionnaire municipal de cette commune, Slimane Azem, le kabyle, serait encore le plus illustre inconnu du cimetière local ! A découvrir également sur Culturebox .