A la une de vos journaux ce vendredi : la guerre des médicaments désormais ouverte entre les pharmaciens et les supermarchés, l’accord sur l’union bancaire considéré comme un pas important pour protéger l’euro et les adieux à la scène de Guy Bedos.
Le Figaro l’affirme, la guerre est « ouverte entre pharmacies et supermarchés ». L’avis favorable de l’autorité de la concurrence pour la vente libre des médicaments non remboursés suscite de nombreuses questions, comme celle de savoir si les Français vont ainsi être tentés « de remplir sans discernement leurs chariots de médicaments ».
Pour Le Parisien /Aujourd’hui en France « Une brèche est ouverte dans le monopole des pharmaciens » qui s’opposent à cette idée tout comme la ministre de la santé.
L’Europe « relancée par Berlin et Paris » est à la une du Monde qui estime que l’accord sur l’union bancaire qui vient d’être signé est « un pas important pour protéger la monnaie européenne » même s’il reste un long chemin dans le « lent rétablissement» de la zone euro « encore si fragile ».
Les politiques vont avoir un peu moins les oreilles qui sifflent . Guy Bedos et son regard malicieux est en couverture de Libération avec un morceau de scotch sur la bouche .Car l’humoriste fait ses adieux à la scène. Avant son ultime spectacle lundi, celui qui a fait de la revue de presse une partie attendue de son one man show est l’invité spécial du journal, avec de nombreuses remarques pinçantes et sensibles sur l’actualité du jour, et quelques citations telles que «L’avantage du pessimisme, c’est qu’on ne peut avoir que de bonnes surprises.»
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Le changement d’année est une période propice aux bonnes résolutions. Rémy, 85 ans, à choisi : il a décidé de « lâcher le volant pour de bon » nous apprend Le Courrier de l’Ouest. Ce conducteur modèle de Chaudron-en-Mauges (Maine-et-Loire) a eu un seul accident matériel depuis 1955 mais il préfère s’abstenir de conduire à partir du 1er janvier « pas par trouille mais par prudence ».Suivre le débarquement en Normandie par le biais des comptes twitter et facebook d’un soldat de l’époque, c’est désormais possible. Ce personnage virtuel inventé par le Mémorial de Caen se nomme Louis Castel. Son histoire est notamment racontée dans Le Télégramme. Ce jeune Français qui s'est engagé en 1943 dans l'armée américaine ne le sait pas encore, mais dans les mois qui viennent, il participera à "la plus grande opération militaire de l'histoire". Ces premiers messages postés ce mercredi depuis New York sont à suivre sur le site de France 3 Basse- Normandie.
Voici un des messages publié sur le compte twitter de Louis Castel
Ça y est, je suis arrivé à Manhattan pour 8 jours de permission ! I can't wait to see Jacqueline and Jack... pic.twitter.com/Rr0vsxf6Uh
— Louis Castel (@louiscastel44) 19 Décembre 2013