
Ils sont 10, ne se connaissent pas et se lancent dans une aventure exceptionnelle : la Grande Traversée des Alpes. Du lac Léman aux plages de la Méditerranée, 30 000 mètres de dénivelé positif, soit plus de 3 fois la hauteur de l'Everest. Des paysages mythiques, de la sueur et beaucoup d'émotion.
L’histoire de la Grande Traversée des Alpes a commencé par un casting rigoureux mené sur dossier par les réalisateurs du film (diffusé en 4 parties lundi 12 octobre sur France 3 Auvergne-Rhône-Alpes) et l’équipe de Chroniques d’en Haut. Sur plus de 700 candidats qui se sont présentés, dix ont été retenus. Âgés de 29 à 83 ans et issus de tous les horizons socioculturels, ces marcheurs n’avaient jamais effectué une randonnée aussi exigeante. Leurs personnalités et motivations très différentes constituent un groupe hétérogène. Tous ont manifesté l’envie de vivre cette aventure peu banale : partir avec un groupe sur un chemin au long cours, avec comme ligne de mire les plages de Méditerranée, à travers les Alpes françaises.
La nécessité d’avancer est une école de la résilience
Au fil des jours, les caractères s’affirment. Il y a les solitaires, les bavards, les taiseux, ceux qui doutent et ceux qui aident, les éternels optimistes et les colériques. Mais la randonnée en montagne a ceci d’extraordinaire qu’elle ne laisse que peu de place aux égoïsmes. Partir en groupe, c’est aussi apprendre à connaître les autres, et à se connaître soi-même. L’effort quotidien peut marquer les antagonismes, mais la nécessité d’avancer est une école de résilience. Au fil des quatre épisodes, les téléspectateurs emboîtent ainsi le pas aux aventuriers dont l’engagement physique et moral est de taille. Ils partagent avec eux la progression sur cet itinéraire, leurs parcours personnels, leurs efforts, les liens qui se font et se défont, les coups de gueule, les peurs, les rires, des émotions contrastées…
La réalité sans fard ni excès
Cette série documentaire de Benoit Aymon et Pierre Antoine Hiroz n’est pas une téléréalité. Ici, c’est la montagne, la météo, la pluie, le froid ou l’orage qui fixent les règles du jeu. Pour autant, les réalisateurs se sont attachés à suivre les personnages de cette aventure au plus près de leur réalité, de leur personnalité. Sans fard, mais sans excès. Avec bienveillance et respect, ils ont su rester discrets, accompagner sans guider, filmer sans trahir. Il en résulte quatre films documentaires sensibles, simples, où la montagne est admirablement mise en valeur, un régal pour les yeux, pour l’esprit. "La Grande Traversée des Alpes, c’est une marche au cœur de l’authenticité alpine. Nous sommes sur les traces des marchands, des colporteurs, des soldats, des pèlerins – voire des brigands ! – qui ont emprunté ces cols depuis des siècles", souligne Benoît Aymon, coréalisateur de la série.
Marche, démarche, voyage initiatique… Si la marche est collective, la démarche est forcément plus intime. Elle permet de mieux se connaître. C’est aussi redécouvrir deux notions qui s’imposent en montagne : la solidarité et la lenteur. Ce périple marquera à jamais les participants qui se sont retrouvés le 4 juin au débarcadère de Vevey (canton de Vaud, en Suisse). Seront-ils tous là, au terme de quatre semaines de marche soutenue, sur les rives de la Méditerranée ? A la fin de la série, les téléspectateurs, eux, se posent immanquablement la question : "Et pourquoi pas moi ?" Mais à n’en point douter : ils seront partis en voyage avec ces marcheurs, et finiront par si bien les connaitre qu’ils deviendront intimes.
Qui sont les marcheurs ?
La nécessité d’avancer est une école de la résilience
Au fil des jours, les caractères s’affirment. Il y a les solitaires, les bavards, les taiseux, ceux qui doutent et ceux qui aident, les éternels optimistes et les colériques. Mais la randonnée en montagne a ceci d’extraordinaire qu’elle ne laisse que peu de place aux égoïsmes. Partir en groupe, c’est aussi apprendre à connaître les autres, et à se connaître soi-même. L’effort quotidien peut marquer les antagonismes, mais la nécessité d’avancer est une école de résilience. Au fil des quatre épisodes, les téléspectateurs emboîtent ainsi le pas aux aventuriers dont l’engagement physique et moral est de taille. Ils partagent avec eux la progression sur cet itinéraire, leurs parcours personnels, leurs efforts, les liens qui se font et se défont, les coups de gueule, les peurs, les rires, des émotions contrastées…
La réalité sans fard ni excès
Cette série documentaire de Benoit Aymon et Pierre Antoine Hiroz n’est pas une téléréalité. Ici, c’est la montagne, la météo, la pluie, le froid ou l’orage qui fixent les règles du jeu. Pour autant, les réalisateurs se sont attachés à suivre les personnages de cette aventure au plus près de leur réalité, de leur personnalité. Sans fard, mais sans excès. Avec bienveillance et respect, ils ont su rester discrets, accompagner sans guider, filmer sans trahir. Il en résulte quatre films documentaires sensibles, simples, où la montagne est admirablement mise en valeur, un régal pour les yeux, pour l’esprit. "La Grande Traversée des Alpes, c’est une marche au cœur de l’authenticité alpine. Nous sommes sur les traces des marchands, des colporteurs, des soldats, des pèlerins – voire des brigands ! – qui ont emprunté ces cols depuis des siècles", souligne Benoît Aymon, coréalisateur de la série.
Marche, démarche, voyage initiatique… Si la marche est collective, la démarche est forcément plus intime. Elle permet de mieux se connaître. C’est aussi redécouvrir deux notions qui s’imposent en montagne : la solidarité et la lenteur. Ce périple marquera à jamais les participants qui se sont retrouvés le 4 juin au débarcadère de Vevey (canton de Vaud, en Suisse). Seront-ils tous là, au terme de quatre semaines de marche soutenue, sur les rives de la Méditerranée ? A la fin de la série, les téléspectateurs, eux, se posent immanquablement la question : "Et pourquoi pas moi ?" Mais à n’en point douter : ils seront partis en voyage avec ces marcheurs, et finiront par si bien les connaitre qu’ils deviendront intimes.
Episode 1
Episode 2
Episode 3
Episode 4
Qui sont les marcheurs ?
- Marc (CH/Vaud)
- Carole (CH/Vaud)
- Thierry (CH/Genève)
- Daniel (CH/Neuchâtel)
- Jean-Baptiste (France)
- Aurélia (France, Espagne)
- Christophe (France)
- Camille (France)
- Ziva (Slovénie)
- Barbara (Belgique)
- Le guide : François (CH/Valais)