Trois voisins du squat "38", baptisé "Centre social tchoukar" par ses occupants, ont porté plainte pour nuisances sonores, entre autres. Ils dénoncent "’immobilisme" de la mairie, propriétaire des lieux, aux abonnés absents dans ce dossier.
Trois voisins du squat "38", baptisé "Centre social tchoukar" par ses occupants, ont porté plainte pour nuisances sonores, entre autres.
Depuis 2015, ce local, situé 38 rue d'Alembert, occupé illégalement a fait l’objet de descentes de police régulières.
Mais le squat, propriété de la maire, n’est pas évacué.
Certains voisins craquent. Isabelle dit avoir atteint le seuil de "tolérance zéro".
De leurs côtés, les squatteurs ne nous laissent pas pénétrer dans les lieux mais déclarent proposer un « centre social indépendant. »
La Préfecture reconnaît de nombreuses atteintes à la tranquillité publique mais l'évacuation ne peut être sollicitée que par le propriétaire, c’est-à-dire la ville de Grenoble qui n’a pas souhaité s’exprimer sur le sujet pour l’instant.