Un an après la mort de son fils et l'un de ses amis, le 28 septembre 2012, Aurélie Monkam-Nubissi parle toujours sans haine même si la douleur est toujours bien présente. Découvrez le témoignage émouvant d'une mère qui a perdu son fils mais qui continue de croire en la bonté de l'être humain.
Témoignage. Aurélie Monkam-Nubissi fait partie des femmes fortes. Après la mort de son fils, Kévin, 21 ans, battu à mort par une bande de jeunes Grenoblois en compagnie de son meilleur ami, cette pédiatre a su garder la tête haute et s'est toujours efforcée au calme et à l'apaisement. Un an jour pour jour après les faits, Aurélie Monkam-Nubissi tente de faire son deuil mais garde toujours une incroyable force de caractère qui lui permet de positiver.
Elle publiera prochainement un livre qu'elle a commencé à rédiger le lendemain de la mort de son fils. Cet exercice d'écriture « fait partie de son processus de reconstruction » a-t-elle confié à France 3 Alpes.