Les signatures du pacte d'accessibilité et du pacte girondin font réagir en Bretagne. Femmes et hommes politiques dénoncent l'absence de calendrier, l'absence de participation financière et le manque de concertation.
Le contenu des accords et la façon dont ils ont été élaborés sont l'objet de critiques de la part de plusieurs hommes et femmes politiques bretons.
Nathalie Sarrabezolles est dubitative sur la façon de procéder. Pour la Présidente du Conseil départemental du Finistère le plus inquiétant est que le gouvernement impose un pacte d'accessibilité Etat-Bretagne sans que les Bretons aient pu discuter, amender ou modifier son contenu.
Le député des Côtes d'Armor et conseiller régional Marc Le Fur estime quant à lui que ces pactes sont des coquilles vides :
Pour le leader du Rassemblement National Gilles Pennelle il s'agit dune opération de communication:
D'autres partis politiques n'ont pas manqué de réagir, comme l'UDB (Union démocratique bretonne) pour qui les annonces d'Edouard Philippe ne sont que "du bricolage". Leur communqiué de presse est à lire ici.
Pour la gauche indépendantiste bretonne le contrat pour l'action publique est une "opération de communication humiliante". Leur communiqué est à retrouver ici