Divisions, manœuvres, rumeurs de candidature aux législatives, l’histoire semble un éternel recommencement. Pour éclaircir le débat sur la situation de la droite et ses développements, le député-maire d’Ajaccio Laurent Marcangeli était l’invité de Cuntrastu, le 29 janvier.
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En ces temps de primaire socialiste, Cuntrastu prend l’exact contre-pied pour s’intéresser à l’autre grande famille politique, celle de la droite, qui a choisi son candidat en la personne de François Fillon.
Pour autant tout n’est pas idyllique dans le camp libéral avec l’amorce d’un mouvement de fronde au plan national et des répercussions au plan local, particulièrement en Corse du Sud, où les relations entre le président de la fédération LR, Marcel Francisci et Laurent Marcangeli semblent distendues, sans que cela soit évoqué publiquement.
Sur le plan des législatives, Laurent Marcangeli en appelle au rassemblement derrière Jean-Jacques Ferrara, président de la communauté d'agglomération du pays ajaccien.
"Ceux qui prendront la responsabilité de la division assumeront de lourdes conséquences au niveau des résultats finaux", prévient le député-maire.
"Je ne veux pas croire aujourd’hui que ma famille politique sur ma circonscription soit dans cette voie discordante et funeste de la division qui conduit à l’échec automatiquement."
"Je n’ose même pas l’imaginer (une autre candidature hors investiture, ndlr), c’est une candidature qui n’aurait aucune chance de rassembler une majorité de suffrages et qui serait donc au mieux une candidature de témoignage, au pire de division."
Pour autant tout n’est pas idyllique dans le camp libéral avec l’amorce d’un mouvement de fronde au plan national et des répercussions au plan local, particulièrement en Corse du Sud, où les relations entre le président de la fédération LR, Marcel Francisci et Laurent Marcangeli semblent distendues, sans que cela soit évoqué publiquement.
Sur le plan des législatives, Laurent Marcangeli en appelle au rassemblement derrière Jean-Jacques Ferrara, président de la communauté d'agglomération du pays ajaccien.
"Ceux qui prendront la responsabilité de la division assumeront de lourdes conséquences au niveau des résultats finaux", prévient le député-maire.
"Je ne veux pas croire aujourd’hui que ma famille politique sur ma circonscription soit dans cette voie discordante et funeste de la division qui conduit à l’échec automatiquement."
"Je n’ose même pas l’imaginer (une autre candidature hors investiture, ndlr), c’est une candidature qui n’aurait aucune chance de rassembler une majorité de suffrages et qui serait donc au mieux une candidature de témoignage, au pire de division."