Les recherches sont toujours en cours pour retrouver la tête qui appartient au cadavre retrouvé dans le défilé du Lancone. L'ADN prélevé sur le buste retrouvé n'est pas enregistré dans le fichier national des empreintes génétiques. L'identification de la personne décédée se complique.
Les membres retrouvés calcinés, jeudi 22 avril, par un promeneur sur la route de Belgodère ne permettent pas d'identifier le cadavre faute d'empreintes digitales. L'espoir d'une identification rapide résidait dans l'analyse de son ADN et la tête qui n'a pas encore été trouvée.
Son profil génétique n'est pas enregistré dans le fichier national des empreintes génétiques (FNAEG). Mais les recherches continuent pour la tête manquante et se concentrent dans le désert des Agriates, sur un des chemins de Belgodère qui mène au Lancone, où ont été trouvés les premiers restes humains.
Une information judiciaire a été ouverte par le procureur de la République, Nicolas Bessone, jeudi soir, pour "meurtre précédé, accompagné ou suivi d'un autre crime", soit la mutilation de la personne. L'affaire a été confiée à un juge d'instruction de Bastia.
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