Dominique Ferrari a été mis en examen dans ce dossier pour "association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste" en octobre 2014.
Des armes et des cagoules cachées dans un box
Au centre des investigations, la découverte en décembre 2013 d'un arsenal dans un box appartenant à la soeur de Dominique Ferrari, ont indiqué des sources proches du dossier. Celle-ci avait été libérée à l'issue de sa garde à vue. Mais l'ancien bâtonnier est soupçonné d'en être le gérant de fait.
Avaient notamment été retrouvés un pistolet automatique, des gilets pare-balles, une grenade, des armes longues, des armes de poing, des munitions, ainsi qu'une cagoule. Les enquêteurs avaient également exploité des traces d'ADN, qui s'étaient révélées être celles d'un homme en fuite, soupçonné d'être impliqué dans les attentats, et par ailleurs client de Dominique Ferrari.