Depuis 2004, des chercheurs de l'Institut supérieur de l'aéronautique et de l'espace, ISAE-SupAéro à Toulouse, utilisent la neuroscience pour limiter le rôle du pilote ou de l'équipage dans les accidents aériens, très rares mais où le facteur humain est en cause dans 70% des cas, selon les enquêtes.