Des salariés d’Amazon demandaient à être rattachés à une convention collective française, et non américaine, ce que refusait le géant du e-commerce. Mais la justice a tranché.
La direction de l’usine Konecranes, à Vernouillet, doit être entendue au tribunal de Chartres lundi 18 février. Les employés, menacés de licenciement en raison d’un redéploiement de la production en Allemagne, lui reprochent notamment de refuser de leur montrer ses chiffres.
Football : ITV entraineur Châteauroux
Des désaccords profonds et persistants
Tous unis derriére...le Maire