Gilles Demailly pointe du doigt la direction de Goodyear. Il se dit déçu du départ de TItan de la table des négociations. Il estime que le site est encore rentable et il pense qu'il pourrait intéresser d'autres industriels de pneus agraires.
Hier dans le journal de Marie Roussel, Gilles Demailly a demandé que des solutions industrielles d'avenir pour le site soient activement recherchées. Pour lui Gooyear doit continuer son activité tant qu'il n'a pas trouvé de repreneur.