Venues de Belgique ou des Pays-Bas, les cigognes observées à Mont-Boubert ont trouvé cette étape intéressante sur leur circuit de migration, parce qu'elles y trouvaient de la nourriture. De plus en plus nombreuses, elles ont décidé d'y passer l'hiver.
« Chez l’oiseau, explique Philippe Carruette, ornithologue et responsable pédagogique du Parc du Marquenterre, la recherche de nourriture se fait visuellement. Dès qu’elle est observée, elle est exploitée. »
Il n’est donc pas rare de voir une cinquantaine de cigognes rassemblées là, même au coeur de l’hiver.
Un reportage de Sabine Godard et Bernard Godard avec : Philippe Carruette
responsable pédagogique du Parc du Marquenterre