Il y a les professionnels, comme Nigel Pert que nous avons suivi... et les milliers d'autres, qui, appareil photo en bandoulière, n'ont de cesse d'immortaliser l'Armada. Nous les avons interrogés aussi.
Nigel Pert, est tombé dans la photographie quand il était petit. Ses premiers clichés de bateaux datent de ses 7 ans... il en a 62 aujourd'hui. Entre temps, son parcours n'a pas été linéaire et avant de se consacrer aux grands voiliers et vieux gréements, il y a une vingtaine d'années de cela, il a pas mal bourlingué.
Installé aujourd'hui entre son Angleterre natale et la Normandie, il suit avec toujours autant d'intérêt et un oeil aiguisé les grands rendez-vous maritimes. Si vous avez manqué ses publications dans les magazines spécialisés ou ses contributions aux beaux ouvrages sur le sujet, sachez qu'il est l'un des quatre photographes qui signeront les clichés du livre souvenir de l'Armada 2013, qui devrait paraitre au début de l'automne prochain. Nous l'avons suivi lors de son passage sur le Tolkien, l'un des grands voiliers hollandais présents cette année.
Professionnel ou pas, "l'homo photographus" est partout, sur les quais, à bord des bateaux, sur les ponts... Du smartphone à l'appareil ultra-sophisitqué, tout le monde ou presque est aujourd'hui équipé, qui pour partager instantanément son cliché, qui pour l'ajouter à une liste déjà longue de photos consciencieusement triées. Il est vrai que les bateaux et leurs innombrables détails sont une source inépuisable d'inspiration.