
Ce dimanche 2 avril, à trois semaines du premier tour de l'élection présidentielle, Franck Besnier et ses invités s'intéressent au traitement de la campagne par les médias. Rendez-vous à 11 h 30 sur France 3 Normandie - Caen.
Ce dimanche 2 avril, "Dimanche en politique" vous propose un club de la presse spécial présidentielle. A trois semaines du premier tour, Franck Besnier reçoit sur le plateau de Caen:
Comment les médias régionaux traitent-ils cette campagne ? Peut-on tout dire ou tout écrire durant cette période électorale ? Comment faire la « chasse » aux fausses informations ? La sénatrice (UDI) de l'Orne Nathalie Goulet, auteur d’une proposition de loi sur les « fakes news », participera au débat en duplex d’Alençon. Elle propose de punir de peines d’emprisonnement les auteurs de « fausses nouvelles » qui selon elles peuvent « provoquer des drames ».
Mais comment contrôler la véracité de toutes les informations qui circulent sur internet et les réseaux sociaux ? Doit-on établir un comité des sages de la presse qui dirait si il s’agit « d’une bonne ou d’une mauvaise information » ?
Le débat est ouvert à l’heure où la défiance à l’égard des journalistes et des politiques n’a jamais été aussi forte. Vous entendrez à ce titre le témoignage anonyme d’un des représentants de l’association Anticor en Normandie qui nous dira le travail réalisé dans la région « au service des citoyens ».
- Jean-Christophe Lalay, journaliste à Ouest-France
- Philippe Thomas, rédacteur en chef adjoint de France Bleu Normandie
- Christophe Boutin, politologue.
Comment les médias régionaux traitent-ils cette campagne ? Peut-on tout dire ou tout écrire durant cette période électorale ? Comment faire la « chasse » aux fausses informations ? La sénatrice (UDI) de l'Orne Nathalie Goulet, auteur d’une proposition de loi sur les « fakes news », participera au débat en duplex d’Alençon. Elle propose de punir de peines d’emprisonnement les auteurs de « fausses nouvelles » qui selon elles peuvent « provoquer des drames ».
Mais comment contrôler la véracité de toutes les informations qui circulent sur internet et les réseaux sociaux ? Doit-on établir un comité des sages de la presse qui dirait si il s’agit « d’une bonne ou d’une mauvaise information » ?
Le débat est ouvert à l’heure où la défiance à l’égard des journalistes et des politiques n’a jamais été aussi forte. Vous entendrez à ce titre le témoignage anonyme d’un des représentants de l’association Anticor en Normandie qui nous dira le travail réalisé dans la région « au service des citoyens ».
Bande-annonce DEP Caen 2 avril 2017