Angoisse physique, angoisse de devoir déposer le bilan et licencier. "On n'en voit plus la fin !".
Les commerçants des "vitrines de Rouen" et de l'union des métiers des industries de l'hôtellerie ont pris la plume.
Dans une lettre ouverte datée du 17 janvier, Ils alertent les manifestants des conséquences des cortèges du samedi. Les feux, nuages de gaz lacrymogènes, barricades dans les rues, dissuadent fortement les habitants de faires leurs courses.
Les premiers licenciements sont effectifs.
Les commerçants ne remettent pas en cause les revendications des "gilets jaunes" mais ils demandent un "dialogue constructif."
Fabrice Antoncic, vice-président des "vitrines de Rouen" dans le 12/13 (18 janvier)