Des élus basques et landais ont également fait le déplacement pour apporter leur soutien à cette ligne à grande vitesse qui permettrait de relier Bordeaux à Toulouse et Bordeaux à Bayonne en un peu plus d'une heure, contre deux heures et demi aujourd'hui.
#LGVJV peut-on accepter un bilan carbone déplorable 10000 camions/ jour sur l'A63 et 18000 en 2025...il faut une alternative au tout camion
— André Garreta (@Andre_Garreta) 7 Mai 2015
@al_rousset - Il faut que le #gouvernement établisse des priorités : #Bordeaux-#Toulouse et #Bordeaux-#Hendaye sont essentiels. #LGVJV
— Région Aquitaine (@RegionAquitaine) 7 Mai 2015
@martinmalvy : "comment Toulouse, 4e ville de France, pourrait-être la seule métropole à + de 4 heures de Paris ?" #LGVJV
— Brice Ancelin (@Brice_A) 7 Mai 2015
Pour ces ardents défenseurs de la LGV, c'est un investissement d'avenir. Il s'agit de préparer la mobilité pour demain, les années 2050, et lutter contre le réchauffement climatique.Oui mais nombre d'élus et associations de défense de l'environnement sont contre. Et proposent plutôt de moderniser les lignes existantes pour gagner en rapidité. Une solution bien moins onéreuse qui éviterait de surcroît une nouvelle percée dans le paysage.
Car le coût de cette LGV sud-ouest avoisinerait les 8 milliards d'euros. Et bon nombre de collectivités locales refusent de payer.
Les pro LGV devront être convaincants pour arriver à leurs fins. Ils soulignent que la région Aquitaine reste la seule en France à ne pas bénéficier de liaison ferroviaire rapide alors que le transit y est particulièrement important. Pour eux c'est un enjeu fort pour l'attractivité et le développement du territoire
Mobilisation des élus et acteurs économiques pour la LGV Sud-Ouest: Alain Rousset invité du 12/13
Comment boucler le budget de la LGV Tours-Bordeaux ?