Affaire du nourrisson mort à Béziers : le bébé serait décédé avant son arrivée au commissariat

Le bébé de six mois vraisemblablement décédé d'une souffrance respiratoire jeudi matin à Béziers, était déjà mort à son arrivée au commissariat de police où sa mère l'avait emmené, faute d'avoir réussi à joindre le SAMU 34, a-t-on appris auprès du parquet.

L'essentiel du jour : notre sélection exclusive
Chaque jour, notre rédaction vous réserve le meilleur de l'info régionale. Une sélection rien que pour vous, pour rester en lien avec vos régions.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "L'essentiel du jour : notre sélection exclusive". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

"Contrairement à ce qu'on m'avait dit au début, le bébé était mort à son arrivée au commissariat", a affirmé, le procureur de la République de Béziers dans l'Hérault à l'AFP, en précisant qu'aucune trace suspecte sur le corps du nourrisson n'avait été relevée.
Le nourrisson décédé étant de sexe masculin et est âgé de 6 mois.

Jeudi, vers 4h30 du matin, la mère, âgée de 27 ans, avait donné un biberon à son enfant, avant de constater quelques instants plus tard qu'il éprouvait des difficultés pour respirer.
A l'aube, vers 7h00, les parents constatent que leur bébé ne respirait plus. Ils essaient d'appeler le SAMU 34 mais se trompent de numéro, a précisé M. Mathé.
C'est alors qu'ils décident de se rendre au commissariat de police, très proche de leur domicile, au lieu de se rendre aux urgences d'un hôpital.

Contrairement à ce qu'il avait affirmé au départ, à savoir qu'il avait réclamé une autopsie du corps du nourrisson, le procureur a mis en route la "procédure habituelle" concernant les morts suspectes de nourrisson en demandant des analyses à l'hôpital Lapeyronie, qui dépend du CHU de Montpellier.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Veuillez choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité
Je veux en savoir plus sur
le sujet
Veuillez choisir une région
en region
Veuillez choisir une région
sélectionner une région ou un sujet pour confirmer
Toute l'information