Nouvelle attaque de la permanence du député LREM Romain Grau à Perpignan

Les vitres de la permanence du député LREM Romain Grau ont été brisées, rue du Marché-de-Gros à Perpignan, dans la nuit de samedi à dimanche. Une nouvelle attaque près d'un mois après le saccage de ses bureaux, fin juillet, par des blacks blocs en marge d'une manifestation de gilets jaunes.

L'essentiel du jour : notre sélection exclusive
Chaque jour, notre rédaction vous réserve le meilleur de l'info régionale. Une sélection rien que pour vous, pour rester en lien avec vos régions.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "L'essentiel du jour : notre sélection exclusive". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

La permanence du député La République en Marche, Romain Grau, à Perpignan, a de nouveau été la cible d'une attaque, dans la nuit du samedi 31 août au dimanche 1er septembre.

Plusieurs impacts ont fissuré les vitres du local, situé au cœur de la ville rue du Marché-de-Gros. L'élu a fait savoir à différents médias qu'il allait porter plainte ce lundi.
 



Les bureaux du député de la première circonscription des Pyrénées-Orientales, par ailleurs candidat aux élections municipales de 2020, avaient déjà été pris pour cible il y a un mois. 
 
Le 27 juillet dernier, des blacks blocs avaient brisé la vitrine et tenté d'allumer un incendie, alors que l'élu et d'autres personnes se trouvaient à l'intérieur, en marge d'une manifestation des gilets jaunes. 

Des dégradations qui confirment la recrudescence des attaques subies par les députés LREM en France, y compris dans le Languedoc-Roussillon. 
 
En novembre dernier, un cercueil avait été déposé devant la permanence du député du Gard, Olivier Gaillard, à Quissac, avec son nom inscrit sur une pancarte. Le même mois, l’élue LREM de l’Aude, Mireille Robert, annonçait sur Twitter l’intrusion d’une quarantaine d’individus "casqués, masqués, violents" sur sa propriété, un soir, qui avaient mis le feu à des palettes.

En décembre 2018, c’est le domicile de Philippe Huppé, député de l’Hérault, qui avait été recouvert de tags à trois reprises en deux semaines. "Collabo", "traître", "mort LaREM", ou encore "Macron dégage", avaient été inscrits sur les murs.

Plus récemment, le 26 juillet, à Thuir, des fruits pourris et du fumier ont été déversés devant la permanence de Sébastien Cazenove, autre élu de la majorité.

Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Veuillez choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité
Je veux en savoir plus sur
le sujet
Veuillez choisir une région
en region
Veuillez choisir une région
sélectionner une région ou un sujet pour confirmer
Toute l'information