Le "préjudice d'angoisse de mort imminente" vise à "prendre en compte l'angoisse intense des victimes qui ont vu venir la mort", explique le directeur général du Fonds, Julien Rencki.
Ce préjudice sera présumé pour les victimes décédées, et établi par un expert médical indépendant pour les blessés, physiquement ou psychologiquement. Il sera compris entre 5.000 et 30.000 euros. Si le principe de cette reconnaissance est salué, ce sont, comme on pouvait s'y attendre, les montants d'indemnistation qui ne font pas l'unanimité.
Nicole Bappel, Mathilde Laban et Abdel Joudi
durée de la vidéo: 01 min 31
Le préjudice d'angoisse après un attentat
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