
80 km/h sur route... Une mesure qui suscite l'hostilité des Français, à en croire un sondage. Mais également d'une trentaine de départements qui demandent l'application de la mesure au cas par cas. Que faut-il en penser ? Débat dans Dimanche en politique, à 11h25. Et sur Facebook, dès vendredi.
Les 80 km/h sur les routes à double sens de circulation, sans séparateur, au 1er juillet 2018 ? Une mesure qui suscite l’hostilité de six Français sur 10.
Mais au-delà de ce sondage, une trentaine de départements réclament également un abandon de cette mesure généralisée au profit d’une application de la mesure au cas par cas. C’est le cas du département de l’Essonne.
Quant aux défenseurs de la réduction de la vitesse sur les routes, ils mettent en avant une nouvelle étude : celle du professeur Claude Got qui, en analysant les données du ministère de l’Intérieur, montre une surmortalité sur les routes des départements ruraux.
Alors, que faut-il en penser ? On en débat dans Dimanche en politique, à 11h25. Une émission dont vous pouvez suivre l'enregistrement en direct, vendredi, à 15h30, sur Facebook.
► Denis Astagneau, de l'association "40 millions d’automobilistes", président de l'Association française de la presse automobile
► François Durovray, président LR du conseil départemental de l’Essonne.
Mais au-delà de ce sondage, une trentaine de départements réclament également un abandon de cette mesure généralisée au profit d’une application de la mesure au cas par cas. C’est le cas du département de l’Essonne.
De 300 à 400 vies par an
Si bon nombre d’automobilistes et de politiques jugent la mesure inutile, le gouvernement campe sur ses positions. Il estime que la baisse de la vitesse de 10 km/h permettrait de sauver de 300 à 400 vies par an.Quant aux défenseurs de la réduction de la vitesse sur les routes, ils mettent en avant une nouvelle étude : celle du professeur Claude Got qui, en analysant les données du ministère de l’Intérieur, montre une surmortalité sur les routes des départements ruraux.
Alors, que faut-il en penser ? On en débat dans Dimanche en politique, à 11h25. Une émission dont vous pouvez suivre l'enregistrement en direct, vendredi, à 15h30, sur Facebook.
Les invités
► Claude Got, spécialiste de l’accidentologie► Denis Astagneau, de l'association "40 millions d’automobilistes", président de l'Association française de la presse automobile
► François Durovray, président LR du conseil départemental de l’Essonne.