Dans l’antre de San Paolo l’enfer était promis au PSG et pourtant les coéquipiers de Gianluigi Buffon ne sont passé loin du paradis. Les parisiens ont pris un point précieux à Naples en Ligue des Champions. Il y a donc de l'espoir pour la qualification en 8ème de finale.
Poussé par plus de 50.000 tifosis, Naples dans son jardin voulait prendre le jeu à son compte mais les vagues bleues était facilement repoussées par un PSG bien organisé dans tous les secteurs de jeu. Résultat un match nul (1-1) et des parisiens qui n'ont pas dit leur dernier mot en Ligue des champions.
Un plan de jeu efficace en première période
Le système de jeu, mis en place face à Lille, a montré une nouvelle fois son efficacité avec notamment Julien Draxler dans un rôle inhabituel, celui de relayeur. En première période, la meilleure de cette saison européenne pour le PSG, Paris n’a pas été inquiété. Mieux encore, juste avant la pause Bernat donne l’avantage à Paris qui conclut une belle combinaison entre Neymar et Mbappé.De retour des vestiaires un quart d’heure très difficile attend le PSG qui retombe dans ses travers des matchs précédents. Paris subit beaucoup, la défense souffre, et le gardien Buffon montre qu’à bientôt 40 ans il n’a rien perdu de son talent. Mais sur une erreur de Thiago Silva, il ne peut rien sur un pénalty transformé par Insigne.
Après cette égalisation Paris repart dans le bon sens et se crée de belles occasions. Paris aurait même pu bénéficier d’un pénalty car l'intervention d’un défenseur sur Bernat dans la surface de réparation était plus que douteuse.
Le PSG, encore maître de son destin
Paris prend donc un point précieux pour la course à la qualification d’autant que dans le même temps Liverpool s’est incliné à Prague. Le club parisien reste troisième de son groupe mais à 1 point seulement de Naples et de Liverpool. Dans ces conditions, la réception de Liverpool le 28 novembre s’annonce déterminante avant le déplacement à Prague.Paris conserve toutes ses chances de se qualifier pour les 8èmes de finales. Le PSG est désormais seul maître de son destin européen.