Transat Jacques Vabre : le niçois Jean-Pierre Dick contraint d'abandonner

Ce dimanche, le niçois Jean-Pierre Dick et Fabien Delahaye ont informé la direction de course qu’ils étaient contraints d’abandonner la Transat Jacques Vabre. Vendredi dernier, le duo à bord de StMichel-Virbac avait constaté un problème structurel (lisses cassées) dans la soute à voiles.

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Suite à la découverte d'un problème, le duo a décidé de faire une escale technique dans l’Archipel de Madère. Hier soir, l’équipe technique, arrivée sur place, a inspecté le bateau. Les dommages à bord de StMichel-Virbac ne permettent pas de poursuivre la course.
Jean-Pierre Dick explique : « Aujourd’hui, le bateau dans sa configuration actuelle, même réparé, est trop fragile pour tenter une traversée de l’Atlantique. On n’est pas assuré à 100 % que le bateau soit capable de naviguer dans les grains que l’on pourrait rencontrer dans le Pot au Noir ou au niveau du cap frio au Brésil. La réparation et le renforcement demandent du temps pour que StMichel-Virbac soit apte à repartir en course. Elle doit être durable. »

L'équipage est déçu


Le navigateur  explique: « Je suis très déçu mais il faut vite se projeter. On va rentrer dans un processus de renforcement du bateau pour naviguer en toute sécurité et à 100% de ses capacités. Les bateaux conçus aujourd’hui sont trop fragiles, nous travaillons avec les architectes sur la version 2 plus cohérente avec le programme." 

Avec mes partenaires, nous sommes frustrés de ne pas pouvoir finir la course mais cela fait partie du métier de coureur au large", explique Jean-Pierre Dick. 


"Avec mes partenaires, nous sommes frustrés de ne pas pouvoir finir la course mais cela fait partie du métier de coureur au large. Ce sont des prototypes de course, il y a une mise au point nécessaire. On savait qu’on avait beaucoup à apprendre avec cette nouvelle génération de bateau foiler. Nous sommes déjà dans l’action pour la suite. »

Il reste deux solutions pour l'équipage : participer à la Transat B to B ou rentrer au chantier à Lorient. La décision dépend des réparations à effectuer.
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