Le BEAmer, le bureau Enquêtes Accidents de mer a remis son rapport sur les causes du semi-naufrage du fleuron de la SNCM. Une tension inégale des amarres aurait entraîné leur rupture.
Dans la nuit du 27 au 28 octobre 2012 un vent soufflait très fort dans le port de Marseille.
Le Napoléon Bonaparte était amarré en zone d’hivernage sur l’une des digues du grand large du port. Une zone peu adaptée en cas de gros de vent avaient signalé certains dès le lendemain de l'importante avarie subie par le navire.
Le magazine "Mer et Marine" s'est procuré le rapport et l'a publié. Nos confrères relatent que des écarts de tension ont entraîné la rupture des amarres, livrant le Napoléon Bonaparte au gré des rafales de vent soufflant jusqu'à 130 km/h cette nuit là.
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Plus d'un an après la catastrophe, le navire n'est toujours pas réparé.