Cheval ailé et zélé de l'electro-pop nantaise, Pegase a remisé provisoirement son Minitel Rose pour se lancer dans un projet solo. Depuis, il y a comme de l'electro dans l'air et deux mini-albums disponibles en version digitale...
C'était au temps du Minitel Rose, premier projet musical de Raphaël d'Hervez alias Pegase. Un groupe de potes qui se connecte en 2006 autour d'une musique electro-pop dansante aussi bien influencée par le rock que par la new wave et bien sûr la dance.
3615 code dancefloor. Pas de limite, pas de frontière, les yeux et les oreilles en position "grand angle", Minitel Rose compose comme il respire, enregistre deux albums et multiplie les concerts. Minitel Rose, c'était ça...
D'un battement d'ailes, il rejoint la France, poste quelques démos sur le web avant de poursuivre l'air de rien la belle aventure de Minitel Rose. En avril 2012, il sort enfin son premier EP solo intitulé "Whithout reasons". Le ton est donné...
Des nappes de synthé, une voix ensorcelante, des choeurs en suspens, une atmosphère mélancolique, Pegase a fini par trouver ses marques...
Sa pop sera électronique et chantée, lumineuse et sombre, minimaliste et aérienne. La preuve si besoin avec ce deuxième titre : "The Bad side of love". Tout simplement magique !
L'année 2012 s'annonçait belle, très belle, elle sera finalement fantastique. Six mois après "Whithout reasons" sort un deuxième EP : "Dreaming legend". Beau comme un rêve ! Pour le clip, Pegase utilise les images d'un court métrage tourné par son père lorsqu'il avait son âge. Effet garanti !
Parallèlement, Pegase multiplie les apparitions en live, notamment au festival Scopitone à Nantes et aux Transmusicales à Rennes. Et de l'avis de beaucoup, quelque chose s'est passé...
Pour retrouver Pegase, deux solutions : guetter le prochain concert près de chez vous et/ou s'abonner à son compte facebook.