Selon l'Observatoire de la vie étudiante près d'un jeune sur deux travaillerait en plus de ses cours. Alors on comprend mieux pourquoi les salons et autres journées spéciales jobs sont courus, comme au Manège de Chambéry, ce jeudi 25 septembre. L'occasion de "sonder" les besoins du moment.
A Chambéry, 25 entreprises proposaient près de 200 emplois ce jeudi. Evidemment il y avait les habituels magasins de vêtement, des banques, des agences d'intérim, des sociétés de nettoyage et des centres de loisirs. En bonus, un atelier était organisé pour apprendre à valoriser son CV et sa lettre de motivation mais aussi un atelier vie professionnelle et réseaux sociaux, tant la chose est importante aujourd'hui.
Reportage Nathalie Rapuc et Jean-Pierre Rivet

Quelques pistes
Le job étudiant le plus sûr reste, bien évidemment, le poste de surveillant. Alors certes, c'est un peu tard mais parfois, comme il y a des désistements, le Rectorat a de brusques besoins.
Très pratique et très en vogue, de nombreuses boîtes de soutien scolaire recrutent aujourd'hui des étudiants capables de faire des cours à distance, par webcam. Au moins, on reste chez soi. Idéal pour ne pas se faire déconcentrer, quand on tient aussi à ses études. Car le problème est là. A cause d'un job étudiant, certains décrochent de la fac. En moyenne on dit que 8 heures par semaine suffisent. Au-delà, un étudiant peut mettre son année en péril.