Le 21 juin, dans la capitale ardéchoise, la musique électronique ne fera pas entendre ses décibels : la municipalité en a décidé ainsi pour préserver la "philosophie" de l'événement. Pas de DJ au programme, priorité aux interprêtes et à leurs instruments... Un couac ?
Dans la ligne de mire des édiles : le niveau sonore, jugé trop élevé. Mais pour les acteurs de l'électro locale, il s'agit tout simplement d'une forme de stigmatisation. Pour eux, il n'y a pas de "vrais" et de "faux" musiciens et chacun devrait pouvoir s'exprimer lors de cette fête désormais incontournable.
Le point sur cette polémique avec Jean Perrier et Nicoals Ferro :
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©Frnace 3 Ardèche