En Isère, le covoiturage peine à décoller sur les petits trajets

C'est la 12ème semaine européenne de la mobilité. Il s'agit de tenter de faire évoluer les comportements en matière de transport. Le covoiturage est une alternative, plus écologique et peu coûteuse, qui pourtant peine à entrer dans les habitudes.

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Pour tenter de développer ce type de transport, le Conseil Général de l'Isère a mis en place en 2012 un site internet qui met en relation passagers et conducteurs dans tout le département. Plus de 5000 candidats se sont inscrits, et le site enregistre 300 nouveaux venus chaque mois.

Objectif affiché, doubler le nombre d'usagers, notamment sur les cours trajets. Car si le covoiturage commence à s'ancrer dans les mentalités et les usages, notamment chez les jeunes, pour les moyennes et longues distances, aujourd'hui à peine 4% des déplacements domicile-travail se font de cette manière.

Au Cheylas, Lionel, restaurateur grenoblois, covoiture toute l'année et ce malgré ses horaires décalés. Il ne fait pas ça pour l'argent -cela lui rapporte 50 euros par mois- mais pour "la convivialité et la protection de l'environnement."

 

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