Du 11 au 17 Mars, chercheurs, médecins, étudiants sont sur le pont et ouvrent toute grande la porte de leurs laboratoires pour expliquer et partager les avancées de la science sur le cerveau ses fonctions... et ses bugs.
Attention, il ne s'agit pas d'exposés pointus mais abscons sur l'état des recherches. Cette semaine du cerveau, organisée depuis 1998, sous l'égide de la société des Neurosciences, dans plus de 100 pays et 120 villes françaises, se veut instructive, ludique , festive et joyeuse.
Entre les Apéros Cerveau organisés chaque jour sur le campus à Eve, les visites sur la presqu'île scientifique de Clinatec, les débats, conférences dansées ou pas, ateliers ludiques pour éveiller les plus jeunes, ou café Sciences, chacun pourra y trouver son compte et faire son marché au pays des neurones et télomères sans y perdre la tête.
Invitée du Journal des Alpes, Marcela PERRONE-BERTOLOTTI, enseignante-chercheuse en psychologie et neurocognition à Grenoble, organisatrice de cette semaine dans la Capitale des Alpes a expliqué à Marie Michelier que cette année on allait se pencher sur ce qui faisait la particularité de cette machine imparfaite : les bugs comme les chatouilles, les éternuements ou les fourmillements, tout ce qui fait dérailler cet incroyable organe.