17 millions de Britanniques (51,9%) ont donc voté pour le retrait définitif de la Grande Bretagne de l'Union européenne. Laurent Wauquiez, président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, y voit une opportunité de "tout changer pour sauver l'Europe".
Les Britanniques ont voté pour sortir de l'Union européenne lors du référendum organisé jeudi, à 51,9% selon les chiffres définitfs publiés vendredi.
François Hollande s'exprimera vendredi dans la matinée sur la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne, alors que Marine Le Pen s'est déjà réjouie des résultats du vote, réclamant le même référendum en France et dans les pays de l'UE. Le président de la République prendra la parole après une réunion ministérielle prévue à 09H00.Le chef de l'Etat avait lancé jusqu'au jour du référendum jeudi de multiples avertissements,estimant que "l'avenir de l'Union européenne" se jouait avec ce scrutin.
Premier à réagir au sein du gouvernement, le ministre des Affaires étrangères Jean-Marc Ayrault s'est dit "triste pour le Royaume-Uni". "L'Europe continue mais elle doit réagir et retrouver la confiance des peuples. C'est l'urgence", a-t-il tweeté.
"Victoire de la liberté !", a de son côté tweeté, dès l'annonce des résultats,la présidente du Front national Marine Le Pen. "Comme je le demande depuis desannées, il faut maintenant le même référendum en France et dans les pays de l'UE".Le vice-président du parti d'extrême droite, Florian Philippot, s'est aussi dit "très heureux" après ce vote, "d'abord pour les Britanniques qui ont fait ce choix démocratique, et puis pour l'avenir de nos pays".
C'est un "choc historique", a estimé pour sa part l'ancien Premier ministre Les Républicains Alain Juppé sur Europe 1, appelant à "écrire une nouvelle page de l'Europe". Le candidat à la primaire à droite a aussi estimé qu'organiser un référendum du même type en France serait "offrir une victoire sur un plateau à Mme Le Pen".
Le président de Debout la France, le souverainiste Nicolas Dupont-Aignan, qui avait aussi soutenu le camp du "out" tout au long de la campagne en Grande-Bretagne, a affirmé dans un communiqué que cette "victoire de la démocratie" serait "un accélérateur de l'Histoire, comme la chance historique de refonder enfin l'Europe".
"L'Union européenne, illégitime depuis le référendum français bafoué en 2005, est arrivée à un point de non-retour", juge-t-il. "Brouillard dans la Manche, l'Europe est isolée", a réagi le député LR souverainiste Jacques Myard.
Pour le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis, qui a réagi sur Twitter, "il serait temps que l'Europe sorte de sa torpeur".
François Hollande s'exprimera vendredi dans la matinée sur la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne, alors que Marine Le Pen s'est déjà réjouie des résultats du vote, réclamant le même référendum en France et dans les pays de l'UE. Le président de la République prendra la parole après une réunion ministérielle prévue à 09H00.Le chef de l'Etat avait lancé jusqu'au jour du référendum jeudi de multiples avertissements,estimant que "l'avenir de l'Union européenne" se jouait avec ce scrutin.
Premier à réagir au sein du gouvernement, le ministre des Affaires étrangères Jean-Marc Ayrault s'est dit "triste pour le Royaume-Uni". "L'Europe continue mais elle doit réagir et retrouver la confiance des peuples. C'est l'urgence", a-t-il tweeté.
"Victoire de la liberté !", a de son côté tweeté, dès l'annonce des résultats,la présidente du Front national Marine Le Pen. "Comme je le demande depuis desannées, il faut maintenant le même référendum en France et dans les pays de l'UE".Le vice-président du parti d'extrême droite, Florian Philippot, s'est aussi dit "très heureux" après ce vote, "d'abord pour les Britanniques qui ont fait ce choix démocratique, et puis pour l'avenir de nos pays".
C'est un "choc historique", a estimé pour sa part l'ancien Premier ministre Les Républicains Alain Juppé sur Europe 1, appelant à "écrire une nouvelle page de l'Europe". Le candidat à la primaire à droite a aussi estimé qu'organiser un référendum du même type en France serait "offrir une victoire sur un plateau à Mme Le Pen".
Le président de Debout la France, le souverainiste Nicolas Dupont-Aignan, qui avait aussi soutenu le camp du "out" tout au long de la campagne en Grande-Bretagne, a affirmé dans un communiqué que cette "victoire de la démocratie" serait "un accélérateur de l'Histoire, comme la chance historique de refonder enfin l'Europe".
"L'Union européenne, illégitime depuis le référendum français bafoué en 2005, est arrivée à un point de non-retour", juge-t-il. "Brouillard dans la Manche, l'Europe est isolée", a réagi le député LR souverainiste Jacques Myard.
Pour le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis, qui a réagi sur Twitter, "il serait temps que l'Europe sorte de sa torpeur".