Pour sa 6e édition, la course nocturne Sainté City Run sillonnera les rues stéphanoises ce samedi 11 décembre sur deux parcours de 6 et 12 kms. Ce défi sportif annulé en 2020 a été maintenu cette année.
C’est un événement qui se veut ludique, festif et animé. A chaque édition de la Sainté City Run des centaines de Père Noël chaussent leur paire de running et arpentent les rues de la ville. Des coureurs déguisés et qui cette année vont pouvoir se frotter à 2 parcours de 6 et 12 kilomètres. Le départ aura à 19h30 lieu place Chavanelle après un échauffement en musique. Sur les parcours, de nombreux DJs animeront la course :
« C’est la fête, on veut vraiment que les gens fassent la fête dans la ville avant Noël. C’est un des plus jolis parcours qu’on ait trouvé parce que on monte du côté de la faculté et on redescend sur le centre-ville, on va place du Peuple, place Jean Jaurès. On reste vraiment dans l’hyper centre et pour les spectateurs c’est génial parce que l’on soit n’importe où on peut voir passer les coureurs 3-4 fois » explique Ludovic Gidrol le directeur de course.
[Bonne nouvelle] Elle est de retour ! La Sainté City Run le 11 décembre ! Déguisés ou non, venez vous dépenser dans une ambiance survoltée dans les rues de #SaintÉtienne ! ? Inscriptions et parcours détaillés sur https://t.co/PCExdp6N9R pic.twitter.com/AjB4N2Cm78
— Ville Saint-Étienne (@saint_etienne_) October 21, 2021
La crise sanitaire n’aura pas eu raison de la course stéphanoise mais a contrarié les organisateurs qui ont dû commander les ravitaillements au tout dernier moment. La préfecture de la Loire a autorisé l’évènement qui espère réunir plus de 5.000 participants cette année.
Un mouvement de grève des policiers municipaux
A l’appel du syndicat autonome de la fonction publique territoriale (FAF-PT), plusieurs dizaines de policiers municipaux mobilisés pour encadrer la course sont appelés à faire grève ce samedi. La semaine dernière lors de la sainte Barbe le mouvement avait été très suivi. Les policiers contestent la mise en place de la loi de transformation de la fonction publique qui engendrerait selon eux la perte de 6 jours de congé annuel.