Le jeu PokemonGo n'est pas encore officiellement sorti en France, mais de très nombreux joueurs l'ont déjà adopté. Téléphone portable à la main, ils arpentent la Place de Jaude ou le Jardin Lecoq à Clermont-Ferrand, à la recherche de Pikachu, Carapuce, Dracaufeu et autres animaux virtuels.
Mi-virtuel, mi-IRL (In Real Life, "dans la vraie vie") le jeu pour smartphone PokémonGo rassemble déjà des millions de joueurs dans le monde entier.C'est aussi le cas en Auvergne. Un premier coup d'oeil sur les réseaux sociaux étonne : sur Facebook, le groupe PokemonGo Clermont France compte plus de 500 joueurs. À Moulins, près de 200 joueurs. À Aurillac, ils sont une centaine. Des chiffres qui donnent une idée de l'engouement suscité par le jeu.
À Clermont-Ferrand, c'est sur la place de Jaune ou le jardin Lecoq que les joueurs se rassemblent pour se mettre en chasse. Les "dresseurs" discutent, les yeux sur leur smartphone, en quête d'un animal rare pour compléter leur bestiaire.
Si l'on ne déplore pas encore d'accidents liés au jeu en France, certains joueurs distraits se sont mis en danger à l'étranger. Cette semaine, la gendarmerie nationale a donc incité les dresseurs à la prudence.
⚠️ Conseils pour les dresseurs #Pokémon :
— GendarmerieNationale (@Gendarmerie) July 19, 2016
- Conducteurs, ne jouez pas à #PokemonGO
- Piétons, redoublez d'attention pic.twitter.com/NAri8KamkP