Un incendie s'est déclaré à 9h41 ce samedi 1er juin dans un immeuble situé Rue des Martinettes à Chambéry. Cinquante-neuf personnes ont été évacuées et 70 pompiers sont sur place. Le feu a été circonscrit aux alentours de midi, selon la préfecture de la Savoie.
Un incendie de grande ampleur s’est déclaré à 9h41, ce jeudi 1er juin 2019, au deuxième étage d'un immeuble d’habitation de huit étages de la Rue des Martinettes à Chambéry (Savoie). Seize appartements ont été touchés.
Le feu a été circonscrit vers midi, selon le communiqué du préfet de la Savoie, publié notamment sur le compte Twitter de la préfecture :
#Secours l Un #incendie s'est déclaré ce samedi matin dans un immeuble d'habitation à #Chambéry. Le feu est désormais circonscrit.
— Préfet de la Savoie (@Prefet73) 1 juin 2019
? 70 sapeurs-pompiers @SDISsavoie renforcés par des équipes des départements 74, 38 et 01 ont participé aux opérations de #secours ⤵️ pic.twitter.com/WsOV48b1w7
Les résidents de l’immeuble, cinquante-neuf personnes, ont été évacués. Soixante-dix pompiers étaient sur place avec d’importants moyens : 30 engins d’intervention.
Des moyens supplémentaires, matériels et humains, en provenance des départements voisins - de l’Isère, de Haute-Savoie et de l’Ain - sont venus soutenir les pompiers de la Savoie. La Haute-Savoie a engagé un de ses fourgons avec six pompiers et l'Isère, un engin à pompe.
Le secrétaire général de la préfecture de la Savoie, Pierre Molager et le maire de Chambéry, Michel Dantin se sont également rendus sur place, ainsi que la police nationale.
Réintégration de certains habitants
Sur les cinquante-neuf personnes évacuées, dix-neuf ont été transférées vers l'hôpital de Chambéry pour des intoxications légères, selon le communiqué de la préfecture.
L'incendie désormais maîtrisé, les sapeurs-pompiers restent sur place pour procéder aux vérifications d'usage.
Certains habitants ont pu réintégrer leurs habitations. Mais les dégâts sont énormes : sur les seize appartements touchés, cinq sont inhabitables.
Une cellule d’urgence médico-psychologique a été mise en place.
La police nationale a ouvert une enquête.