Le planning familial d'Orléans voit sa dotation de l'Etat baisser. Conséquence : deux salariés sont licenciées. Un coup dur pour l'association qui a des missions essentielles : accueillir et informer sur la contraception et la sexualité.
Les consultations sur la contraception et les interruptions volontaires de grossesse correspondent à la moitié de l'activité du planning familial d'Orléans. Ici, on peut parler aussi de sexualité, sans tabou. Aujourd'hui, toutes ces missions sont remises en cause après que les subventions de l'Etat ont diminué de près de 60 000 euros. Le planning a donc été contraint de licencier deux personnes. Du coup, ce sont donc toutes les activités qui vont en pâtir:
amplitude des horaires réduite, réduction des animations scolaires.. Le budget et les effectifs sont en diminution mais pas le nombre de personnes accueillies au planning. En 2013, elles étaient plus de 5 000. C'est 10 % de plus que l'année dernière.
►video: reportage au planning familial d'Orléans
(par I.Racine et A.Rigodanzo)
intervenantes: Gaëlle, Sarah Durocher, accueillante au planning familial et Monique Lemoine, Présidente du planning familial
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