Selon un sondage de la Fédération Française d’Éducation Physique et de Gymnastique Volontaire : un tiers des habitants du Centre Val de Loire a pris comme bonne résolution de faire du sport en 2019.
En début d'année, c'est une habitude, un rituel, une obligation... appelez cela comme vous voulez mais chaque année, à la même époque, les français parlent de leurs bonnes résolutions. Et souvent, il y en a plusieurs : arrêtez de fumer, boire moins d'alcool, ne pas dire de gros mots devant les enfants, être gentil(le) avec sa belle-mère, manger moins de chocolat, penser davantage à soi, se mettre à la méditation, faire davantage de sport. La liste est longue et vous le savez bien : nous prenons tous de bonnes résolutions... que nous ne tenons jamais.
2 000 personnes interrogées dans ce "Baromètre Sport-Santé"
Cette année encore, la Fédération Française d’Éducation Physique et de Gymnastique Volontaire (FFEPGV) publie son Baromètre Sport-Santé réalisé en collaboration avec l’institut IPSOS. Dans ce sondage, un habitant de la région sur 3 (32 % exactement) annonce que sa première résolution sera de pratiquer une activité sportive. La deuxième bonne résolution pour 27% des sondés est d'avoir une alimentation équilibrée. Les moments de détente sont sur la troisième marche du podium.
Le sport pour le bien-être du corps et de l'esprit
Les français en ont bien conscience, faire du sport, ça fait du bien au corps et à l'esprit.
Quand on les interroge sur leur état de forme, les habitants de la région Centre Val de Loire sont positifs. Ils sont 63% à qualifier leur niveau de bien-être de "bon", voire "plutôt bon", un chiffre pourtant en baisse (contre 75% en 2017). Ils attribuent à leur état de forme général une note de 6,2/10 (contre 6,6/10 en 2017).
Par ailleurs, ceux qui pratiquent au moins une heure par semaine une activité physique ou sportive sont 68% à qualifier leur niveau de forme "bon", voire "plutôt bon" et à s’attribuer une note globale de 6,4/10.
L'enquête a été réalisée par l’institut Ipsos pour la FFEPGV dans 12 régions françaises auprès de 2 000 personnes interrogées, du 14 au 19 décembre 2018.