Les Bronzés 4 : pour Patrice Leconte, c'est une blague qui a fait le buzz malgré lui !

A l'occasion du tournage d'un nouveau numéro de "Histoire de" pour France 3 Centre-Val de Loire, le réalisateur Patrice Leconte est revenu sur le faux bruit qui court concernant une suite aux Bronzés.

Le réalisateur Patrice Leconte était dans les locaux de France 3 Centre-Val de Loire le jeudi 22 novembre 2018 afin d'enregistrer une émission "Histoire de", présentée par Jérémy Allebée et qui sera diffusée au mois de décembre.

L'occasion d'évoquer le succès des films "Les Bronzés", d'autant que nous célébrions les 40 ans de la sortie en salle du premier épisode des Bronzés, que le public a découvert dans les salles obscures le 22 novembre 1978. L'année d'après sortait "Les bronzés font du ski". Et en 2006, "Les bronzés 3, amis pour la vie".

Quatre décennies plus tard, Patrice Leconte porte un regard ému, amusé et enthousiaste sur ce film.

On ne pouvait pas imaginer qu'on était en train de faire un film inusable

Sur le plateau, le cinéaste s'est vu offert un gâteau d'anniversaire à l'effigie du célèbre film, devenu culte pour toute une génération.
 
 

Les Bronzés 4, blague ou réalité ?

Ces derniers temps, on a pu lire des articles évoquant la réalisation d'un 4e numéro des Bronzés

Patrice Leconte explique : "A l'occasion de l'anniversaire des Bronzés, la question m'a été posée". "Au lieu de dire non il n'y aura pas de 4", il a dit sur le ton de la blague : "Oh bah oui il y aura un 4 ... que l'on fera en maison de retraite, avec de très très vieux acteurs".

Il s'est amusé à en parler comme ça. "Si ca se faisait, se serait marrant à faire", avant d'ajouter : "Mais je pense que ça ne se fera jamais".

Des gens ont repris cette information au bond. Comme il le précise avec humour, il a reçu de nombreux coups de téléphone : "des gens de RTL m'ont appelé" !
 

Non, non, c'est un faux bruit

Avant d'aborder un autre sujet au cours de l'émission, Patrice Leconte ajoute : "il faut essayer de ne pas dire n'importe quoi car c'est toujours pris pour argent comptant".