En quatre mois, les équipes du chantier ont déjà mis au jour trois obus différents.
Nouvelle surprise sur le chantier de l'ancienne prison d'Orléans ! Après la découverte, fin septembre, d'un premier spécimen de 250 kilos, et d'un deuxième, plus petit, le 25 novembre, un troisième obus viens d'être mis au jour.
Les démineurs, venus de Versailles, sont arrivés sur place peu avant 17h, leur intervention étant prévu pour 17h30. Entretemps, il a été demandé à l'école Pierre Segelle et aux lycées Benjamin Franklin et Pothier de libérer leurs élèves avant 17h, pour assurer leur sécurité. La zone a été bouclée par la police nationale et municipale. L'obus n'a pas encore pu être calibré.
Ces armes de guerre sont les séquelles des bombardements intenses qu'avait subi Orléans en 1944, par les alliés qui cherchaient à détruire le matériel réquisitionné par les nazis.