Une manifestation se tient ce mardi 22 novembre à la sous-préfecture de Vendôme pour demander l'ouverture d'une classe unité localisée pour l'inclusion scolaire (Ulis) à Mondoubleau. Une mère de famille a décidé d'arrêter son traitement médical en signe de mobilisation.
Des parents d'élèves de Mondoubleau se sont rassemblés à la sous-préfecture de Vendôme pour demander l'ouverture d'une classe unité localisée pour l'inclusion scolaire (Ulis) dans leur commune. Sophie Laboulandine, mère d'une petite fille en situation de handicap, a décidé "au titre de citoyenne engagée, d'entamer un odieux chantage : arrêter le traitement médical qui me permet de vivre dès le 22 novembre" en réponse au "soutien plus que timide de nos élus locaux, des enseignants et des parents concernés", comme elle le précise dans une lettre ouverte sur le site ensemble pour les élèves en situation de handicap dans le 41.