Condamné à 30 ans de réclusion criminelle en première instance, puis à 25 ans en appel, Eric Coppolani comparaît pour la troisième fois devant la cour d'assises d'appel d'Aix-en-Provence pour l'assassinat d'Antoine Nivaggioni, perpétré le 18 octobre 2010 à Ajaccio. Le procès s'est ouvert le 12 mai dernier.
Une peine dans la lignée de celles réclamées lors des deux précédentes audiences: l'avocat général Pierre Cortès a requis 30 ans de réclusion criminelle à l'encontre d'Eric Coppolani, ce jeudi 19 mai, en répression de l'assassinat d'Antoine Nivaggioni, ancien militant nationaliste devenu homme d'affaires.
Condamné à 30 ans de réclusion criminelle en première instance, en 2018, puis à 25 ans en appel en 2019, Eric Coppolani s'était pourvu en cassation. L'homme de 47 ans comparaît depuis le 12 mai pour la troisième fois dans cette affaire.
Pour rappel, Antoine Nivaggioni, ancien directeur de la Société Méditerranéenne de Sécurité, a été tué le 18 octobre 2010 d'une trentaine de coups de feu tirés par un commando lourdement armé devant le domicile d'une amie.
Le verdict est attendu demain, vendredi.