L’une d’entre elles s’est déroulée mercredi soir. La gendarmerie intervient et constate des traces de morsures de chien sur les dépouilles des animaux. « Si on porte plainte ça ne va pas très loin. Cet hiver, j’ai eu une attaque, j’ai porté plainte, la personne a été condamnée et je n’ai toujours pas été remboursé », déplore Jean-François Brunelli.
Six attaques
« Le gros risque, c’est, vu qu’elles sont en gestation et qu’elles sont presque à terme, qu’on ait une grosse perte au niveau des avortements. À ce moment-là, ce sera la campagne 2018-2019 qui sera plus que fortement compromise », complète-t-il.
Jean-François Brunelli, éleveur, après l'attaque de son troupeau de brebis par des chiens
Selon le berger, plusieurs éleveurs de la région ont subi le même type d’attaque. Il les estime au nombre de six depuis l’hiver dernier.