Philippe Croizon s'est fendu d'un long texte qu'il a posté ce jeudi sur sa page FaceBook à la suite d'un paragraphe qui le concernait dans le livre-brûlot de Valérie Trierweiler "Merci pour le moment" (Editions Les Arènes).
Vous trouverez ma réponse au livre de Valérie Trierweiler #Mercipourcemoment sur ma page Facebook officiel : https://t.co/s97fYMiOQA
— PHILIPPE CROIZON (@PhilippeCROIZON) 4 Septembre 2014
Le nageur handicapé de Châtellerault (86) s'est ému de cette (présumée) révélation lorsqu'il a lu, sous la plume de Valérie Trierweiler l'anecdote suivante. Un jour qu’elle reçoit à l’Elysée Philippe Croizon, Valérie Trierweiler insiste pour que le président Hollande vienne le saluer. Quand après le dîner, elle lui demande ses impressions, il répond : "Je n’aime pas les handicapés qui font commerce de leur handicap". Elle en reste bouche bée, se demandant comment lui qu’elle a connu sensible a pu devenir un "bloc de métal".
Sur sa page FaceBook, Philippe Croizon a donc décidé de répondre à cette citation attribuée à François Hollande dans un livre qui ressemble à un violent règlement de compte. Le texte du nageur amputé des 4 membres commence ainsi : "Je considère que ses propos privés n'auraient jamais dus être rendus publics. Ce sont les mots d'une femme trahie mais je souhaite néanmoins réagir..."
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