Des bourses aux graines pour échanger des semences de légumes locaux. C'est ce que proposent plusieurs associations limousines pour lutter contre les semences industrielles et retrouver le goût des légumes anciens, cultivés sans engrais et sans pesticide.
Que se cache-t-il derrière le « Baccalan de Limoges », le « Taupard du Limousin » ou encore la « Blonde de Limoges » ?
Réponse : un chou, un haricot et... une salade!
Des légumes limousins anciens que des jardiniers du dimanche ont choisi de sauver de l’oubli.
Réunis au sein de plusieurs associations, ils proposent au public des échanges gratuits de graines, à substituer aux semences industrielles vendues dans le commerce.
Des bourses aux graines qui rencontrent un succès croissant.