Une semaine en Nouvelle-Aquitaine !
Retrouvez les évènements qui ont marqué cette semaine du lundi 31 octobre au vendredi 4 novembre dans notre grande région. Tout ce qu'il ne fallait pas rater résumé en 2 minutes
C’est une information du journal Le Monde : l’association L214 a filmé l’abattage de vaches gestantes à l’abattoir municipal de Limoges, une pratique légale mais controversée. D’autres réglementations auraient été enfreintes. L’association a déposé plainte.
Le Parquet de Pau a ouvert une enquête pour déterminer les causes de sa mort : chute ou malaise. Le chef palois (Ze Bistrot à Pau) de 53 ans, porté disparu depuis le 24 octobre, était parti comme à son habitude à la chasse à la bécasse. Son corps a été retrouvé samedi soir par des sauveteurs.
Un ressortissant roumain, mis en examen pour le viol d'une jeune femme en août, sur le parking d'une station-service près de Bordeaux, s'est suicidé dimanche après-midi à la maison d'arrêt de Gradignan (Gironde), a-t-on appris lundi auprès du parquet de Bordeaux.
La préfecture du département organise un exercice de sécurité civile de type attentat dans plusieurs lieux du département le 3 novembre. La population est invitée à ne pas paniquer.
La journaliste Christine Ockrent, présente à la foire du livre de Brive pour son livre "Clinton/Trump, l'Amérique en colère", analyse pour France 3 Limousin ce scrutin.
L'automne est la saison idéale pour détruire les nids de frelons asiatiques. Une opération risquée mais nécessaire, puisque ces insectes sont dangereux pour l'Homme et tuent les abeilles. Vendredi 29 octobre, la ministre de l'Environnement a d'ailleurs annoncé la libéralisation de cette pratique.
A trick or a treat ? Fantômes et morts-vivants seront de sortie ce soir pour frapper aux portes et demander "un sort ou un bonbon". Notre région n'échappe pas à cette fête venue d'outre-Atlantique et célébrée ce lundi.
Samedi 29 et dimanche 30 octobre, la fête du piment d'Espelette a attiré plus de 20 000 visiteurs. L'occasion de découvrir l'épice sous toutes ses formes, d'accueillir la nouvelle récolte et de s'immerger dans la culture basque.
Pour la consoler de s'être fait dérober pour 9 millions d'euros de bijoux à Paris le 3 octobre dernier, un artisan béarnais a confectionné à Kim Kardashian une parure unique, 100% Béarn.