Le Racing 92 a annoncé mardi que ses joueurs Dan Carter, Joe Rokocoko et Juan Imhoff avaient été "lavés de tout soupçon" concernant la présence de traces de corticoïdes dans leurs urines à l'issue de la finale du Championnat de France remportée en juin.
Le Racing 92 s'est réjoui "d'une décision qui ne concerne pas seulement trois joueurs mais aussi un club et l'image d'un sport" et a dénoncé "la méconnaissance du sujet par ceux qui l'ont traité, les amalgames, les approximations et les erreurs publiées sans garde-fou (qui) ont gravement nuit à la réputation d'un club et de ses membres".
"Traiter des pratiques médicales déviantes est louable. Faire cohabiter une semaine durant ce traitement avec des titres et des photos impliquant un club, c'est blâmable car le halo de perceptions négatives retombe de manière implacable sur le club et ses joueurs. C'est instrumentaliser une information banale", a ajouté le club.