Deux ans après le déraillement du train Paris-Limoges, qui a tué sept personnes, une commémoration est organisée dimanche à Brétigny-sur-Orge en Essonne.
Des victimes ou des proches des victimes, 70 personnes seront présentes ce dimanche à la gare de Brétigny pour rendrent hommage aux victimes de l'accident ferroviaire. Deux ministres, la direction de la SNCF et une foule d'anonymes dont de nombreux habitants de la ville s'associeront à cette commémoration.
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La justice progresse doucement. La ministre de la justice l'avait promis : un juge d'instruction supplémentaire doit être nommé en septembre pour épauler les deux magistrats instructeurs travaillant sur l'accident ferroviaire de Brétigny-sur-Orge (Essonne), qui avaient estimé ne plus pouvoir assumer seuls un dossier aussi lourd. Depuis deux ans, la SNCF a été mise en examen pour plusieurs irrégularités sur ses structures.
Le plan VIGIRAIL, la sécurité ferroviaire et la maintenance des infrastructures sont des « priorité nationale ». Depuis la catastrophe de Brétigny-sur-Orge, il y a deux ans, la sécurité ferroviaire a fait l’objet d’un plan d'urgence de 410 millions d'euros sur 4 ans, mais les retards dans la maintenance du réseau nécessitent des investissements toujours plus importants.
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