Après les violences et saccages commis par les "blacks blocs" avant le début de la manifestation du 1er mai, mardi, 109 personnes ont été placées en garde à vue dès mardi. 18 d'entre elles sont présentées ce jeudi 3 mai au tribunal correctionnel en comparution immédiate
18 personnes, parmi les 283 interpellées mardi 1er mai, lors des saccages commis par les "Blacks Blocks" en marge de la manifestation traditionnelle, sont présentées ce jeudi 3 mai, au tribunal correctionnel de Paris, en comparution immédiate, pour y répondre de violences sur des policiers.
Hier déjà, un homme arrêté pour port d'armes, mardi avant le début de la manifestation, a été condamné à trois mois de prison avec sursis par le même tribunal correctionnel de Paris.
Pour l'instant, certains de ces casseurs sont toujours en garde à vue et sont interrogés. Jusque là, 24 d'entre eux ont été déférés devant le tribunal.
Qui sont donc ces "Blacks blocks", casseurs sans visage ni but précis autre que "la casse" ? Frédérique Hovasse et Frédéric Askienazy