Ma thèse en 180 secondes : deux finales locales, à Paris-Diderot et à Cergy

Le concours Ma thèse en 180 secondes est de retour. Deux finales locales sont organisées ce mardi en Île-de-France, à l’université Paris-Diderot et à l’université de Cergy-Pontoise.

180 secondes, et pas une de plus. Deux finales locales du concours Ma thèse en 180 secondes sont organisées en région parisienne ce mardi.

Le concept : de jeunes chercheurs doivent présenter leur thèse au public en trois minutes chrono. L’idée est d’exposer clairement son travail de recherche, et de convaincre le jury malgré la concision imposée par le temps. Autre contrainte : n’utiliser qu’une seule diapositive de présentation.

Trois minutes, une diapo

Deux finales locales ont lieu en Île-de-France : une à Paris-Diderot, l’autre à l’université de Cergy-Pontoise. La finale à Paris-Diderot est à suivre en direct ici ; et celle de Cergy-Pontoise, ici.

A Cergy-Pontoise, Davida Desplan remporte la finale, et se qualifie pour la suite du concours. Retrouvez sa performance en images... En 180 secondes, cette étudiante de l'université de Cergy-Pontoise a tenu son pari de faire comprendre sa thèse sur les "caractérisations mécanique et électrique de produits cosmétiques et de leur stabilité, lien avec des modifications chimiques ou des contaminations biologiques".
 Et c'est Grégoire Martinon qui se qualifie lui à Paris-Diderot :

Les cinq candidats à Cergy :
  • Rayane Chettaoui, en biologie : « l’étude de la bioactivité et la caractérisation biochimiques de métabolites extraits de certains fruits contre les bactéries uropathogènes ».
  • Thomas Cousseau, en biologie également : « l'étude du microenvironnement matriciel de biofilms, du rôle de polymères extracellulaires dans la structure du biofilm et le comportement bactérien ».
  • Davina Desplan, en chimie : « la caractérisation mécaniques et électriques de produits cosmétiques et de leur stabilité lien avec des modifications chimiques ou des contaminations biologiques ».
  • Mathieu Goczkowski, en biologie : « la conception et l'élaboration de matériaux de biodégradabilité contrôlée pour la médecine régénérative ».
  • Rodolphe Meyer, en sciences et technologies de l'information et de la communication : « le développement de facteurs de caractérisation dépendants du temps pour les émissions sonores issues des transports dans le cadre de l'évaluation des impacts du cycle de vie ».
Les quatre candidats à Paris-Diderot :
  • Grégoire Martinon, en physique : « les systèmes gravitationnels en espace-temps asymptotiquement anti-de Sitter ».
  • Cynthia Fourmental, en physique : « études structurales des interfaces ferromagnétiques/organiques ».
  • Alexandre Novo, en psychanalyse : « devenir des enfants placés en accueil familial thérapeutique; intérêt de la Grounded Theory dans les études mixtes ».
  • Anne-Charlotte Jarry, en biologie : « l’impact des entérohormones sur l'homéostant glucidique ».
Les 27 lauréats, issus de l’ensemble des regroupements universitaires participant au concours, se retrouveront à Paris. Rendez-vous les 13 et 14 juin, pour la demi-finale et la finale nationale.
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