Chez la vaincue UMP Nathalie Kosciusko-Morizet, c'est la déception. A son QG de campagne, dans le IIe arrondissement, et dans le bar voisin où elle a donné rendez-vous à la presse, les rares militants ont la mine déconfite.
Chez la vaincue UMP Nathalie Kosciusko-Morizet, c'est la déception. A son QG de campagne, dans le IIe arrondissement, et dans le bar voisin où elle a donné rendez-vous à la presse, les rares militants ont la mine déconfite.
"C'est une grande déception, même si on n'y croyait plus trop", soupire un militant, les traits tirés. "C'est quand même ballot d'être les seuls militants UMP qui pleurent dans une France bleue", grince-t-il.